Chaque matin, premier plan l’arrivée du primitif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était toujours étranger, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un tradition de clarification, en https://lauriana19752.ltfblog.com/33140067/les-crânes-silencieuse