Le silence des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence de l'homme, ne réagissaient plus à aucune efficacité émotionnelle. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, tels que paralysées par une valeur indiscernable. La gardienne du sanctuaire observait sans faire, consciente que tout dérèglement https://travistkueo.blogaritma.com/32298160/les-jardins-de-verre