L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une vie pâle. Les obscurcissements de la nuit s’effaçaient brin à doigt, mais sur le papier de riz, d’autres obscurités persistaient. Comme tout matin, il se dirigea vers son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux prosodie https://fernandotejnp.ezblogz.com/65537139/le-génie-de-la-famille-d-ivoire