Le théâtre s’élevait au cœur de la ville, acculant nonobstant ses locaux fissurés et son société décolorée. Abandonné pendant plus d’un siècle, il avait autrefois accepté les grands musiciens de son ère. Mais aujourd’hui, seuls le vent et la poussière animaient encore ses allées désertes. Arthur poussa lentement les portes https://charlieihbxq.tusblogos.com/34016869/la-ultime-parole-suspendue