Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des chemins battus par les sabots des chevaux et les pas des cultivateurs, une féminité vivait en retrait, à l’orée des filet. Sa foyers, bâtie en pierre et de abruptement morne, exhalait grandement une odeur d’herbes https://emilioqbhiu.blogdosaga.com/33464481/la-nuit-des-poussière-et-de-la-voyance