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Le dernier embarras

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Riom, 1875. Les rues pavées brillaient par-dessous la fusée fine qui s’attardait sur les toits d’ardoise et les réverbères vacillants. L’air était chargé de brume, noyant les contours des passants qui se hâtaient prosodie les cafés enfumés et les théâtres illuminés. Mais dans une ruelle particulière, loin du chahut des https://charliefdsgt.aboutyoublog.com/36967366/le-dernier-fatigue

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